Acidente que matou o Tenente Selfridge |
GRANDES VULTOS BRASILEIROS QUE MARCARAM A HISTÓRIA NAS SUAS MAIS DIVERSAS ATIVIDADES
SANTOS DUMONT – Parte 07.
“L’approche de la mauvaise saison semble redoubler le zèle de nos aviateurs et la semaine que vient de s’écouler a vu encore de suoerbes envolés. Un fort grave accident est survenu malheureusement a l’aviateur américain Orville Wright. Le 17 de septembre, au cours d’expériences lesquelles il enlevait avec lui un passager, le lieutenant Selfridge, une hélice de l’appareil se brisa: l’aéroplane déséquilibré fut précipité sur le sol d’une hauteur de 25 mètres. Le lieutenante est mort quelques heures après la chute, Orville Wright a une jambe brisée, et est condamné au repos pour 40 jour au moins”.
Há 10 de outubro de 1908, escreve ainda La Nature: “Après quelques jours d’inactivité apparente, employés à modifier son appareil, Wilbur Wright a repris au Mans le cours de ses espériences. Le 3 octobre il a exécuté avec un passager, un vol de 51 m. 1/3; la vitesse réalisée fut d’environ 60 Km. 600 m. … La principale des transformations apportées à l’appareil a èté la suivante: les kélices ont été remplacées, par de nouvelles, dont les palettes ont une largeur double des premières. De son coté. Farman a repris également ses essais au camp de Châlons, et réussit de remarquables envolées, couvrant 42 kilomètres em “4 m. 32 s.”
Wilbur Wright modificou, pois, o seu aeroplano na Europa, a fim de poder voar melhor. Nos Estados Unidos, o irmão espatifou-se e matou numa queda o primeiro passageiro que levava – o Tenente Selfridge. Onde a pretendida vantagem desses cavalheiros sobre os aviadores europeus de 1908? Orville, quebrada uma perna, tem de ficar de cama 40 dias. Wilbur aproveita as experiências de Farman e de outros, para alterar o biplano com que apedreja o espaço arremessando-se de um trilho de madeira de 24 metros, graças a um peso colossal de 700 quilos suspensos num pilone e solto no momento da partida.
Retrucar-me-ão que cito apenas jornais franceses, e Santos Dumont vivia em França. Que argumento com “parti-pris”.
Continua
GONDIN DA FONSECA
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